Leurs pattes sont ligotées fermement. Une fois tous les trois mois environ, certains sont suspendus tandis que d’autres sont étirés sur une planche de bois. Pour ces animaux de proie, cette expérience pétrifiante peut parfois suffire à leur provoquer une crise cardiaque. Puis leurs véritables souffrances commencent lorsque les employés tirent et arrachent la longue et douce fourrure de ces lapins à vif.
Le stress et la peur peuvent être accablants. Cependant de nombreux lapins doivent subir cette épreuve à répétition avant de succomber à cette torture. Ceux qui survivent plus longtemps et dont la fourrure devient moins abondante, sont cruellement abattus, et leur chair est vendue comme viande.
Depuis 2013, des milliers et des milliers de personnes se sont insurgées contre ces pratiques. Face à cette levée de bouclier des centaines de grandes marques de vêtement ont bannit les articles conçus avec de l’angora … Les consommateur·rice·s possèdent un plus grand pouvoir que ce qu’elles/ils pensent et elles et ils se révèlent en devenant consom’acteur·rice·s !
Aujourd’hui l’association PETA poursuit son travail et VOUS pouvez aider, des pistes par ici !
Voici le magnifique travail du photographe d’art Ashrafularefin, basé à Dhaka (Bangladesh).
Du jour où il a adopté deux petits lapins ils sont devenus de grands modèles photogéniques.
Voici comme l’artiste décrit ce travail :
« J’aime les mettre en scène dans un monde beau et magique avec une touche d’humour. Je tiens à faire ressortir leurs personnages, et à montrer qu’ils ressentent aussi des émotions humaines. La partie la plus difficile a été de les faire poser. En effet, les lapins sont très sensibles et peuvent avoir peur très facilement. Il a fallu beaucoup de patience pour obtenir une jolie pose. J’ai dû être vigilant et toujours avoir mon appareil photo sous la main pour ne rien manquer ! »
Présentation de la méthode d’élevage avant-gardiste d’Anne-Yvonne Colin. Dans le Finistère (29) elle travaille dans le respect de l’animal et de la Nature et au bout dans le respect de la santé humain.
Sa démarche d’intègre dans le plan Ecoantibio 2014, notamment par la démédication des animaux.
Pour rentrer dans le détail, nous vous invitons à consulter la page dédiée du site internet du Ministère de l’Agriculture.
Ce lapin en peluche appartenait à une petite fille anglaise qui l’a perdu dans Londres. Sa mère a immédiatement lancé un avis de recherche sur le web. Depuis, des milliers de personnes essaient d’aider la petite Ruby, 3 ans, à retrouver son compagnon en peluche.
Le site d’informations Gentside rapporte les propos de la mère de Ruby (3ans) : « Je pense que tout le Royaume-Uni est à sa recherche ».
Et pour cause, elle a crééer samedi dernier des pages sur les différents réseaux sociaux (Twitter, Facebook et Instagram) pour lancer un avis de recherche de Mr Rabbit, il avait été perdu après une sortie en famille dans Londres. Les pages sont toutes fournies du parcours de la balade, et de photos de sa fille et de sa peluche. Cette maman photographe a lancé un appel sur le blog dédié à sa fille : simplyruby.co.uk où elle explique : « Je sais ce que vous vous dites. Ce n’est qu’une peluche, vous n’avez qu’à la remplacer et elle ne le saura jamais. Malheureusement j’aimerais que ce soit vrai. On a eu ce lapin alors que Ruby n’était âgée que de quelques jours. C’est son meilleur ami et il nous accompagne partout. Il était là quand elle a été à l’hôpital, il était là quand elle a eu la varicelle, ses premières dents, la première fois où elle est tombée et s’est écorché le genou ou cogné la tête. Il a vu tout ça «
A partir de ce moment la sphère des réseaux sociaux se mobilise pour retrouver Mister Rabbit !
1 369 internautes ont retweeté l’appel et le hashtag #FindMrRabbit sur Twitter et c’est sans compter sur les autres tweets parallèles. Et La page Facebook a elle reçu 1800 mentions « j’aime » et près de 3500 partages de l’annonce en quelques jours. Mouvement de solidarité impressionnant !
Cet engouement à été relayé par les medias britanniques.